Ici, vous arrivez dans le petit monde d’Amato qui a plaisir et persévérance à nous faire part de ses points de vue. Ce personnage parfaitement imaginaire ou peut-être bien réel, nous livre en toute sincérité et en une singulière simplicité ce qu’il vit et ressent au cours de certaines manifestations folk et trad locales.
Le bal folk, c'est 95% de musique et de danse. Cependant, mille moments faits de trois petits riens touchants le colorent également, mais en filigrane et en flou…
Elle réalise en scottish une stupéfiante figure de triple (ou quadruple ?) tour autour de ma main chauffée à blanc et ce avec le sourire. Les juges bulgare et russe du patinage en seraient eux-mêmes restés babas.
Elle voudrait savoir par sa copine généralement bien informée sur moi si je serai au bal. Ladite copine me fait part de son embarras : rivalité naissante.
Le bal folk, même festif à 99,9%, n’est pas fait que d'enthousiasme, de sérénité et de joie exemptes de certains accrocs. Il est aussi le théâtre de contrariétés, de petites déceptions, de micro drames...
Parmi bien des petits bonheurs vécus sur la piste et autour des parquets, il faudra bien encore savoir digérer d’autres menus ratages …
Jeter un regard patient, attentif et ouvert sur ses partenaires et son entourage au bal, c’est d abord aussi se jauger soi-même. Goûts, valeurs, préférences, qualités, faiblesses, tout s’y révèle un peu dans tout.
Les musiciens font de nombreuses observations de détail qui les stimulent au cours de leur activité. Discrets mais attentifs, ils voient et comprennent des situations à leur façon...
Des relations personnelles se nouent, se dénouent ou auraient pu germer autour du bal, selon de petits détails dont la perception se fait parfois à retardement...
Pêli-mélo de bal folk Comme souvent déjà, à la loupe et au scalpel, Amato avance à la Sherlock Holmes dans les lieux de bal pour en retracer quelques pistes élémentaires. Il s'aventure aussi en hors piste et évite les chutes, rarement fatales près des parquets, il est vrai.
Amato réécoute ou réentend dans les médias les musiques standard, tubes et succès d'un assez proche passé "grand public". Il les transfère expérimentalement vers ses pieds, jambes, mains, bras et cerveau de danseur folk.
Amato s’exprime sur ses choix de bals, sur ses routes et routines folks, sur des danseuses qu’il y côtoie...
Le biotope à danser d’Amato, Ulysse de proximité bien terrestre, est resserré. Il s’avère animé de présences fortes, habiles, ...
Ouf, Halloween est à nouveau passé. Halloween commercialement forcé malgré ses alibis culturels de «redécouverte de notre authentique Grand Passé de Celtes».
Amato se livre en vrac à quelques débordements et glissades.
La danse folk, le sport… Activités individuelles, collectives, jeu, compétition, bien-être,…?
Entre deux bals Amato rumine en solo à ses heures et transcrit ici ses observations et humeurs de chroniqueur amateur.
« Tapaçaenbal ?», titrait une cassette du groupe Quintaine dans les années 80. Amato a tout ça en bal, et plus si les lecteurs suivent. Attachez vos ceintures et attention aux décalages.
Amato tourne des pages de son confesse-book, se remémore sans gloire quelques passages pas toujours romantiques...
Des citations qui peuvent en cacher bien d'autres et qui invitent à en savoir plus...
Amato, qui est-il ? « Amato est un homme indépendant pour qui le mot liberté est sacré. C'est un amoureux de la vie et de ses plaisirs....
Entre règles et bons conseils souples, Amato façonne à sa manière, comme dans de très anciennes et directives traditions, des indications pour nous faire entrer et exister dans le bal. Tout un programme...
«Réminiscences et traçabilité» tel était le titre d'origine de cette chronique. Un peu compliqué. Le titreur a veillé et fait plus simple. Lisibilité, sobriété. Un peu de rétroviseur, pour éclairer le présent et espérer en l'avenir radieux de nos activités...
Amato explore dans le concret les différences entre le bal et le spectacle.
Le temps de préparation du spectacle file, la chorégraphie doit être assimilée. Amato travaille consciencieusement sa participation tout en observant les situations créées.
Le grand soir est passé, le Graal arthurien est retrouvé, les lumières sont éteintes. Souvenirs encore proches d'un participant actif assez inattendu dans une représentation «celtique», notre chroniqueur Amato, le «celto-sceptique» nuancé.