Amato tire sa révérence
Amis lecteurs d'AccroFolk,
- J'ai choisi, ultime figure de contredanse, de tirer ma révérence de « chroniqueur folk» sur cet excellent site. Ravi d'avoir été lu durant ces quelques dix années, j'ai pourtant été parfois frustré d'en recevoir si peu de retours virtuels des lecteurs. D'autres internautes réussissent souvent mieux, ailleurs, à susciter avec régularité et intensité de bons et brefs échanges aussi pertinents que primesautiers sur les activités « trad' folks », en prise avec l'air du temps et ses raccourcis, là où AccroFolk privilégie surtout le fond.
- Une dernière illustration, qui sera ici ma touche finale. C'est un tableau devant l'original duquel j'ai dîné, par tous les hasards, il y a quelques jours à New York. Il fut réalisé au début du XXè s. par Max Bohm (sans tréma sur le « o », ça doit être un patronyme quelque peu « américanisé »), un peintre d'outre atlantique donc (1868-1923), né à Cleveland dans l'Ohio, ma seconde patrie. Il est certes trop peu connu malgré sa grande présence personnelle en Europe. Max Bohm m'apparaît particulièrement inspiré dans cette œuvre intitulée « Joy », ou encore « Dance on the shore », [« La joie », ou «Danse sur le rivage »]. Tout un programme !
Ciao.
Amato,
(The end, novembre 2014)